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                                                                                Quelques soutiens

 

Quelques soutiens.




par Marc Nadaux

 






La Commune de Paris peut compter sur quelques soutiens. Celui de ces cercles belges ou américains... Quant aux franc-maçons, s'il multiplient les gestes favorables au mouvement insurrectionnel - manifestations, discours... - , ceux-ci sont aussitôt désavoués par les instances nationales. Paris, de plus, ne comptent que quelques 5.000 frères maçons, qui tous - loin s'en faut - comme les Parisiens d'ailleurs, ne sont point Communards.

Et au-delà ? L'insurrection parisienne trouve quelques échos en Province. Dans une poignée de grandes villes - citons Lyon, Marseille, Toulouse, Narbonne, Saint-Étienne ou Le Creusot -, ont lieu des mouvements insurrectionnels, identiques, mais éphémères. Quelques jours tout au plus pour la plupart. Le 15 mai, un appel leur sera néanmoins lancé depuis la capitale. En vain.

En avril et mai, ce sont donc les seuls 30, peut-être 40.000 Gardes nationaux parisiens qui affrontent les troupes versaillaises.








Manifeste de la Franc-Maçonnerie, 8 avril 1871.
La Légion fédérale belge.
Les " Franco-américains ".
La Commune de Lyon.
La Commune de Toulouse.
L'agitation à Bordeaux.








Manifeste de la Franc-Maçonnerie,
8 avril 1871.













La Légion fédérale belge.












Les " Franco-américains ".












La Commune de Lyon.












La Commune de Toulouse.












L'agitation à Bordeaux.