L'affrontement
entre les Communards parisiens et les Versaillais, autrement dit les
forces militaires régulières sous le commandement du gouvernement
d'Adolphe Thiers, commence le 2 avril 1871. Lors de cette escarmouche au
Mont Valérien, des Fédérés sont faits prisonniers et fusillés
sommairement. Ceci ne contribue qu'à diaboliser davantage l'ennemi. Car
deux légitimités se font face, celle d'une Assemblée monarchiste et réactionnaire,
celle aussi de révolutionnaires insurgés.
Le
général Dombrowski est nommé commandant de la place de Paris,
8
avril 1871.

" Les conspirateurs royalistes ont attaqué ",
2 avril 1871.

Les hommes du gouvernement de Versailles " sont
mis en accusation ",
3 avril 1871.

" La réaction monarchique est sans pitié ",
3 avril 1871.

Des otages en représailles des exactions commises par
les " bandits de Versailles ",
5 avril 1871.

Un tribunal d'exception statuera sur le sort des
traîtres,
6 avril 1871.

" La Commune de Paris vous
convie à l'enterrement de nos Frères assassinés ",
6 avril 1871.


" La violence de nos ennemis prouve leur faiblesse ",
7 avril 1871.

Proclamation de la Commission des barricades,
13 avril 1871.


" J'autorise une suspension d'armes à Neuilly ", le
Délégué à la Guerre, Cluseret,
22 avril 1871.

" Les craintes de certaines personnes sont exagérées
",
Lettre du général Bergeret à la Commission exécutive.

" Le drapeau tricolore flotte sur le fort d'Issy ",
9 mai 1871.

Le citoyen Delescluze est nommé aux fonctions de
Délégué civil à la Guerre,
10 mai 1871
